vendredi 31 octobre 2008

Kayaking



        Le deuxième jour a été principalement consacré au kayak dans les superbes paysages de l'Oklahoma. Une descente assez tranquille où il a fallut pas mal ramer, mais avec de l'eau contrairement au gardon, et paysage plus sauvage que les plages nudistes vers la baume... Donc au programme fun et découverte, les photos parlent d'elle même.

samedi 25 octobre 2008

Shining stars


        Une soirée autour du feu qui nous réchauffe dans cette nuit si sombre, où seul les étoiles nous éclairent, et où je m'illustre dans un jeu de rôle assez intéressant, mafia, où je fais parti des personnes à débusquer, et m'en sort brillamment pendant quasiment toute la partie, jouant de roublardise pour convaincre de mon innocence dans cette obscurité et éliminer mes partenaires, pour échouer tout près de la victoire, pour une soirée pour le moins sympathique. Une soirée qui au delà du jeu m'a beaucoup marqué de par son obscurité, et puis la présence de ces petits points brillant dans le ciel...

        Lors d'un tremblement de terre à Los Angeles en 1994, la région avait été plongée dans le noir et les pompiers avaient reçu de nombreux appels signalants de drôles de points lumineux dans le ciel... Cette petite anecdote en dit long sur la pollution lumineuse aux US, et à l'heure où j'écris ces mots il n'y a aucune étoile de visible dans le ciel de Dallas, un halo lumineux provenant des lumières présentes un peu partout les masquant. Ce fut donc un plaisir de pouvoir retrouver une nuit noire, et ces magnifiques étoiles illuminant le ciel en compagnie de la lune, et j'ai tenu à immortaliser ce moment avec quelques photos illustrant ces lumières si difficiles à saisir et si belles à la fois...

jeudi 23 octobre 2008

Legend of the golden deer



        Selon la légende hindou de Ramayana, Alors que le roi Rama et sa femme Sita se trouvaient en forêt, un cerf doré apparût aux yeux de Sita qui demanda au roi de l'attraper pour elle. Le cerf était en réalité un Rakshasa, démon hindou, qui perdit le roi dans la forêt et kidnappa Sita. La croyance hindou veut que l'on ne doive pas suivre un cerf dans la forêt qui nous perdrait alors...

        Après avoir eu un aperçu du coin, retour au camp où  Cristina, notre joyeuse Mexicaine, vient me montrer les photos de cerfs qu'elle vient juste de prendre. L'objectif dressé comme un canon, je pars sur ses indications chasser le cerf, suivi de nouveau par toute ma bande. Au croisement d'un chemin on peut les apercevoir, mais le nombre de personnes et le bruit les effrayent et ils se mettent à courir en plein coeur de la forêt. Je m'élance à leur trousses, suivi par le groupe pendant un temps, mais après près d'une demi heure à courir à l'affût du moindre mouvement, faisant quelques pauses pour pouvoir les repérer, puis repartant au pas de charge, il n'y a guère plus qu'une petite Indienne qui me suit et me rejoins alors que j'arrive enfin à me rapprocher assez près afin de pouvoir sortir l'objectif.

        Commence alors un jeu du chat et de la souris entre les cerfs et nous, se faufilant le plus discrètement possible pour pouvoir se rapprocher d'eux, tentant quelques photos avant de repartir après eux encore et encore. À ce jeu là mieux vaut jouer à domicile, et après avoir encore couru d'un côté et de l'autre ils ont finalement réussi à nous semer. De retour sur nos pas, on se met à discuter, trouvant l'idée de courir après des cerfs assez originale, et voilà que de nouveau une biche apparaît à nos yeux, et nous voilà reparti à ses trousses, mais elle nous perd rapidement au milieu de la forêt, ne nous laissant aucun indice sur le chemin par lequel nous sommes arrivés...

        Assez confiant, je trace droit au milieu de ces grands arbres jusqu'à retrouver un chemin de fer que nous avions déjà traversé à notre arrivée, puis retrouve la rivière et l'on se met à suivre son cours en espérant retomber sur le campement. Après une bonne marche il semblerait que l'on ne soit pas au bon endroit sur la rivière, et je décide de revenir sur nos pas pour remonter la rivière dans l'autre sens, alors que ma compagnie d'infortune commence à trouver le temps long et fatiguer.

        Nous marchons depuis maintenant un bon moment, ayant des impressions de déjà vu, mais toujours pas de campement à l'horizon, le soleil a déjà bien faiblit et le chemin s'assombrit maintenant. Au détour d'un chemin nous apercevons un motard jouant de la flûte, posé sur sa Harley-Davidson, donnant une ambiance particulière vu la situation.


Mais déjà nous continuons, jusqu'à voir un pont, le pont sur lequel nous avons fait les photos j'imagine alors, et j'accélère le pas pour arriver le plus vite possible au pont, mais malheureusement ce n'est pas le bon pont, et je devine que nous somme bien loin de là où nous aurions voulu être...

        Au final et après avoir demandé des indications aux personnes qui se trouvaient dans le coin, j'arrive à nous faire embarquer avec une famille qui part avec le coucher du soleil, et nous voilà embarqué dans la nuit avec ses gens qui cherchent à retrouver notre chemin. N'ayant aucune idée d'où l'on vient avec la nuit qui est maintenant tombé, je leur demande simplement de nous poser à l'entrée du parc, là où je retrouve rapidement la responsable de UTD qui nous accompagne sur le voyage, morte d'inquiétude et qui s'apprêtait à déclencher les recherches avec la police locale.

        Nous voilà au final de retour au campement pour une bonne soupe bien chaude afin de nous réchauffer, me rappelant bien de la légende hindou, et la responsable de l'association de me dire sur un ton autoritaire, "you never do that again !", bien sûr...

mercredi 22 octobre 2008

Arrivée en douceur


           Après ce long voyage en voiture, on a commencé par se chercher un bon coin pour se poser, près de la rivière, essayer d'avoir le minimum de monde autour vu le bordel de prévu, on installe toutes les tentes pour enfin pouvoir exprimer un besoin primaire à cette heure avancée de l'après midi... I am ungry !
         Alors là c'est le dur retour à la réalité, avec une tranche de fromage, une tranche de dinde, entre deux tranches de pain de mie et un peu de ketchup pour couronner le tout, c'est aussi ça les US...

        Rien de prévu pour le moment, tout le monde traîne un peu autour des tentes, je me décide à me bouger un peu pour découvrir le coin, suivi par un peu tout le monde. Je trace directement au milieu des arbres jusqu'à la rivière, commence à me créer mon propre chemin au milieu des herbes jusqu'à me retrouver bloqué, et avec tout le monde qui m'a suivi !
         Au final on s'est débrouillé pour se retrouver sur un pont offrant une superbe vue sur la rivière, les pêcheurs à la mouche, et l'occasion de sortir le reflex bien remarqué pour une première photo de ce petit groupe.

        Mais tout cela n'était que le calme avant la tempête, et j'allais bientôt m'illustrer dans mes oeuvres...

lundi 20 octobre 2008

The falling sleeping bags


          Debout à 7h du matin un samedi, ça fait mal pour le coup, mais il faut bien ça pour attaquer le voyage jusqu'en oklahoma ! En attendant le bus, facile de repérer les gens qui sont du voyage, il suffit de repérer ceux qui se balade avec un sac de couchage, et j'attaque doucement la tchatche avec Chen, un peu de mal à communiquer au départ mais l'anglais fait déjà des merveilles ! Arrivé sur place on commence à former un petit groupe d'indiens, chinois, rejoins par une mexicaine, un égyptien, un libanais, un tanzanien, une américaine et un français donc, venant des quatre coins du monde, c'est la tour de babel réunifié.

         Ensuite on se décide à charger les voitures avec tout le matériel, deux chinoises sont venu avec assez pour remplir toute une voiture déjà, la galère s'annonce, surtout que la voiture a l'air grosse de l'extérieur, mais une fois que vous êtes 8 dedans il reste plus beaucoup de place dans le coffre, donc c'est sur les genoux pour les sacs et sur le toit pour les duvets. Avec une bonne heure de retard me rappelant bien le sud on se décide à partir, direction le highway. Et là c'est les grands croisements à l'américaine, le genre d'oeuvre d'art imaginé par un esprit tordu, mais qui au final s'avère assez efficace, le seul danger venant des américains conduisant... comme des américains !

          Au bout d'un quart d'heure coup de fil pour Mohamed, notre chauffeur Égyptien. "Allo, vous avez perdu trois duvets sur le highway !" On s'arrête tranquille sur le bord de la 2 fois 4 voies, pour se rendre compte que l'on avait bien perdu 3 duvets sans s'en rendre compte, je pense que les voitures derrière nous ne peuvent pas en dire de même... on serre bien les autres, on redémarre, un bon coup d'accélérateur à l'égyptienne, et là le téléphone sonne de nouveau, on a perdu un autre duvet ! Résultat des courses avec ce ménage par le vide on a eu la place de loger les autres duvets, enfin dans nos bras, au moins on risquait pas de bouger !

        On a pu enfin profiter des routes américaines, la navigation étant plutôt simple, une route direction ouest, ensuite une route direction nord, et c'était le seul virage à prendre avant d'arriver dans la région, sinon c'est tout droit pendant 200 miles ! Au final on passe quelques patelins à moitiés désert, et on se retrouve en plein coeur de l'amérique profonde, fini les supermarché de partout, ici c'est des forêts, une baraque de temps en temps, et pas un relais téléphonique à moins de 50 miles, voilà pour le trajet, le meilleur reste à venir...

dimanche 19 octobre 2008

Bakc from oklahoma

Me voilà de retour dans la ville après un weekend en pleine nature rempli de folie où le français du voyage a su rajouter sa touche, "Mickael" est connu de tout le monde maintenant au global village maintenant ;-)

Donc restez connecté sur le blog, du lourd est prévu pour les jours à venir !

vendredi 17 octobre 2008

Into the wild

I'm leaving home to go into the wild, kayaking in Oklahoma, see you...

jeudi 16 octobre 2008

Logique ?


          Après vous avoir parlé il y a quelques temps des bascules flip flop, voilà ce que l'on peut obtenir en combinant quelques unes de ces portes logiques de différentes manières afin d'obtenir des fonctions intéressantes, que l'on inclut dans des circuits intégrés, les petites puces ;-)

        Ensuite on prend ces petits composants, on connaît les entrées, les sorties, donc rien de bien intéressant quand il s'agit d'en utiliser un seul, mais quand il s'agit de constituer un plus gros circuit voilà ce que ça donne, un bordel abominable de fils emmêlés patiemment assemblés, la moindre erreur de connection pouvant fausser tout le circuit.

          Et au final ce que vous pourriez voir comme un vaste bordel est pour des fous comme moi un circuit logique parfaitement clair permettant ici de faire des additions et soustractions de nombres allant jusqu'à 255. Un sacré truc de brancher tout ça d'ailleurs, et surtout de trouver les erreurs sans le circuit et de les corriger, si vous avez bien entendu je peux retrouver ma voie dans ces superbes branchements, et non branchages, encore que cela depends du point de vue ;-)!

        Le meilleur reste à venir avec le projet...

mercredi 15 octobre 2008

Le culte de la pomme


         Voilà le petit plaisir que je me suis fait en arrivant aux États-Unis, un gros pavé blanc avec une pomme dessus, croquée bien sur ;-)

          Un superbe objet donc, mais qui au delà de prendre de la place sur mon bureau et ramasser la poussière, permet aussi de me cramer les derniers neurones actifs grâce à des ondes wifi très puissantes, le tout connecté à internet pour venir jusqu'à ce blog. Cette petite merveille s'appelle donc la time capsule, puisqu'elle contient la mémoire qui permet à mon ordinateur d'utiliser la machine à remonter le temps... À ce point là, et à moins que vous n'ayez déjà entendu ma propagande Apple, vous commencez à vous dire que le wifi doit être vraiment fort, mais c'est bien le cas, cette petite chose me permet de remonter dans le temps, en tout cas jusqu'à revenir au premier jour de la mémoire de mon mac, ce qui est déjà pas mal !

        Mais ce qui fait la différence entre ce magnifique objet et n'importe quel autre accessoire, c'est qu'il est parfaitement conçu par Apple (ou "parfaitement con" selon le site officiel, bravo les gars). Au delà d'offrir quelques fonctionnalités intéressantes, il fait parti des objets de culte de Apple, superbes pièces arborant ce design si travaillé, la robe blanche et la pomme croquée qui différenciait Apple jusque là, une image qui se voit jusque sur chaque mac avec cette pomme brillante découpé derrière chaque écran et que l'on peut apercevoir un peu partout ici.

        Car il y a bien une chose qui surprend quand on arrive ici, c'est que le mac sur l'université est beaucoup plus répandu qu'en France, on peut en voir un peu de partout, et pas uniquement le modèle de base mais aussi de nombreux macbook pro, et même deux macbook air pour le seul cours d'électronique, les étudiants ici semblant avoir des moyens que nous n'avons pas, et je ne parle même pas des iphones, l'originalité étant de ne pas en avoir un je crois. L'avenir de la marque à la pomme est donc plus qu'assuré, même le magasin technologique de l'université vendant uniquement des macs...

        Petite touche nostalgique pour finir en regardant cette pomme entouré de blanc puisque c'est l'un des derniers produits arborant la robe blanche, les nouveaux ordinateurs portable sortis hier ont fini de convertir la pomme à l'aluminium bordé de noir, la fin d'une époque et un petit pincement au coeur...

mardi 14 octobre 2008

"Le monde est petit !"

         Aujourd’hui je viens de vivre une expérience assez surprenante pour le moins, et qui me fait bien réaliser que le monde est petit !

          Après une bonne journée de cours, c’est à dire une bonne prise de tête sur de la programmation assembleur, pas mal de révisions pour un examen plutôt évident et qui devrait me valoir encore une super note, me voilà de retour chez moi en passant par le super target  pour aller faire quelques courses, musique à fond sur les oreilles. Une fois fait le plein de pâtes, tomates, crème fraîche et fromage râpé, on ne se réinvente pas, je me dirige vers les caisses, assez pleines, alors que je vois quelqu’un courir depuis une caisse, comme si il avait oublié quelque chose. Cela pourrait être n’importe qui, mais j’ai le sentiment que je l’ai déjà vu quelque part...

          Je me dirige alors vers la caisse d’où il vient de partir en espérant le voir revenir, et là qui es-ce que je vois ? Rémy Dussart, spécialiste des plasma à Polytech’Orléans et que j’avais eu en cours en deuxième année, je m’approche alors et lance un franc “bonjour”. Surpris, il me regarde, et je lui redit bonjour, je lui explique que je l’ai eu en cours, et on se met alors à tchatcher avec un autre prof que je ne connais pas et le troisième que je connaissais donc aussi et que j’avais eu en cours en deuxième année. On s’installe alors et se met à parler en français d’un peu tout, en commençant par constater une fois encore que le monde est vraiment petit, ils m’expliquent alors qu’ils viennent pour une conférence sur le plasma organisé à UTD, puis on parle des supermarché, je leur dit que je trouve pas ça forcément génial ici, manque de roquefort entre autre, ils remarquent bien mon accent du sud au passage.

         La caissière essaye de me dire qu’il faudrait que je paye mes courses, je suis encore sous le coup de la surprise. Elle me demande alors d’où je suis, je lui explique la situation mais elle a pas l’air plus enthousiaste que ça, et on se décide enfin à libérer la caisse. Ils me proposent de me ramener en voiture, pas tant la distance qui me gène mais j’en profite pour discuter un peu plus avec eux. On parle alors des différences entre les cours ici et en France, le fait qu’ici on bosse beaucoup plus par nous même, puis je découvre la voiture qu’ils ont loué, une coupé dans laquelle on a l’impression d’être de retour dans une petite voiture française (pléonasme). Ils m’expliquent que le permis français suffit pour conduire ici, je leur dit que je serai bien tenté pour aller en Californie, et pourquoi pas en voiture après tout ? Alors que l’on sort du parking j’ai aussi pu expérimenter l’effet que peut avoir une voiture automatique sur un français, puisque l’on a faillit se planter dans le poteau au milieu de la route, se retrouvant en travers avec la voiture sur la 2 x 3 voies, avec quelques bons rire pour le chauffeur.

          Me voilà de retour au final en un seul morceau, heureux d'avoir pu parler avec des gens que je connais de France, qui me rappellent d'où je viens, encore le sourire aux lèvres et cette phrase qui résonne dans ma tête et qui peut sembler si banale, mais qui a pris tout son sens ce soir, “Le monde est petit !”

dimanche 12 octobre 2008

Le mail Assassin


         Voilà le mail que j'ai reçu en ce dimanche en fin d'après midi, et voilà la traduction pour les non anglophones et autres réticents à la lecture dans la langue de Shakespeare. Ce mail me somme donc en ce dimanche soir à préparer toute une liste d'exercices à rendre pour mercredi, ainsi que de me préparer à rédiger pour dans une semaine un rapport d'une page, en anglais bien sur, sur un article présent sur le site internet et dont les conditions de rédaction seront données demain.

          Une petite idée de l'occupation des profs à UTD, faire en sorte de venir te pourrir la vie même le dimanche, et on ne se plaint pas, comme on dit à polytech c'est pour préparer au monde de l'entreprise, ça donne envie...

PS : il a chargé en exercices le salaud !

samedi 11 octobre 2008

Thomas

         Je vous présente Thomas, un superbe petit ours qui ressemble comme deux gouttes d'eau à un panda, mais qui est bien un ours de l'avis de la personne qui en prend soin. Ce mignon petit ours ne c'est pas retrouvé ici par hasard, et il n'est pas dans n'importe quel bras aujourd'hui, et je m'en vais vous raconter son histoire.

          Je me baladais tranquillement près de dallas dans mon mall habituel, j'entend par là le mall où se trouve le Cinéma et l'Apple store, où je venais de m'acheter un superbe accessoire Apple, je sais que c'est un pléonasme mais c'est vraiment trop beau ces petits trucs blanc avec une pomme dessus ! Alors que je revenais donc d'une de mes folies dans lesquelles je m'égare encore, je suis passé à côté du “build a bear workshop”, superbe magasin vous proposant de fabriquer votre propre petit ours en peluche du début à la fin.

         On commence par choisir son aspect, ici un petit ours panda donc, puis on le remplit de mousse selon ses goûts, sans oublier de lui donner petit coeur. Vous pouvez ensuite choisir tous ses habits et ses accessoires, et j’ai trouvé que le maillot des Cowboys était tout à fait approprié et plutôt mignon. Pour information contrairement à ce que je pensais les Dallas cowboys sont les joueurs de football américain, le sport le plus suivi ici, et pas les joueurs de Hockey sur glace que j’aimerai beaucoup voir d’ailleurs, j’ai été piqué par le virus il y a quelques années à Vancouver et il faut que je me fasse un match de la NHL avant de repartir ! Ensuite j’aurai aussi pu choisir des chaussures, lunettes, portable, etc, tout à sa taille mais je l’ai voulu assez simple, et les ray ban c’était pas vraiment ça avec le tour des yeux noirs ;-)

         Une fois ma création terminé, il est temps de lui donner un nom, une adresse, et dire à qui il est dirigé, et là gros problème, non pas sur la personne à qui il s’adressait pour laquelle j’avais déjà une bonne idée, mais sur le nom. Comment s’appelle ce petit ours en peluche ? La vendeuse qui m’avait guidé jusque là m’a vu bloquer complètement, essayant de m’aider elle m’a demandé à qui il s’adresser, et m’a proposé de lui donner son nom, je trouvais ça un peu étrange, ensuite lui donner le mien c’était assez spécial aussi, je sais que j’ai des cernes mais quand même je ressemble pas à un panda ! Alors elle a eu une question qui a fait tilt dans ma tête : quel nom vous donneriez à une petite personne aussi mignonne ? Là j’ai pensé de suite au petit Thomas, le tout petit neveu de Sophie que j’avais pu prendre dans mes bras, et j’avais craqué sur ce tout petit bout de chou, d’ailleurs j’ai dis que je voulais bien le garder mon avis à pas changer Cécile ;-)

         Maintenant que le petit Thomas était baptisé j’ai pu repartir, sans oublier de passer par la caisse où une fois encore les vendeuses se sont extasiées d’avoir un Français dans leur magasin, prenant le train pour rentrer chez moi à près de 10h du soir avec ma peluche sous le bras, une image pour le moins originale.
         Mais ce petit ours n’allait pas rester bien longtemps chez moi, car depuis le début c’est une idée, un mot qui avait guidé mes pas, une discussion que j’avais eu avec ma chérie me disant qu’il manquait quelqu’un à serrer dans ses bras le soir. Et le petit Thomas est donc un messager qui a fait ce long voyage par dessus l’atlantique pour arriver deux semaines plus tard dans ses bras et venir combler ce manque en lui apportant tout mon amour.

vendredi 10 octobre 2008

St Paul Church


      Voici l’église St Paul, “the First Baptist Church if Dallas”, une très jolie église qui se découpe assez bien parmi les hauts buildings et qui m’a attiré jusqu’à elle pour cette photo, le reflet du nuage semblant représenter les pensées de cette église qui s’impriment sur cette immense tour...

        Comme vous avez sûrement dut en entendre parler, les candidats à l’élection présidentielle mettent en avant leur croyance, et les relations d’amitié du candidat Obama avec son pasteur ayant tenu des propos racistes avaient fait scandale aux États-Unis. Ce n’est pas un hasard si le prochain président devra encore jurer sur la bible afin de pouvoir entrer au pouvoir dans un pays où l’on affiche bien haut ses opinions religieuses. Les églises ici sont toujours remplies et l’on peut en apercevoir un peu de partout, on peut surtout voir que ces églises mettent en avant leur image et vont jusqu’à vous pour vous apporter leur bonne parole. Cela peut porter à sourire à premier lieu mais relève bien de l’idée américaine, puisque devant de nombreuses églises on peut voir des panneaux d’affichage électronique indiquant les différentes cérémonies ainsi que les événements à venir sont visible depuis la route près de ces églises.

      Cette idée religieuse est aussi présente à l’université, en commençant par le groupe chrétien qui a permit d’organiser la prise en charge à mon arrivée, ainsi que les nombreux groupes de réflexion présents sur le campus. Ces groupes possèdent une grande influence sur le campus et sont au coeur de l’organisation de nombreux événements, de sorties et de rencontres pour discuter autour de cette croyance. J’avoue d’ailleurs avoir mis un moment à comprendre quand un étudiant est venu me demander si je voulais participer à une séance de discussion de la bible alors que j’étais posé en train de manger au Comet Café. 

      Ces pensées religieuses à l’image de ce nuage qui se reflète sur les fenêtres de ce building sont encore bien présentes dans tous les domaines de la vie Américaine et vous invitent encore chaque jour à prendre part à cette vision, "God bless America".

Red Line to Westmoreland, St Paul Station

         Voilà ce que l'on entend en descendant du train pour arriver en plein coeur de la ville, chose assez surprenante d'ailleurs de voir passer ce train entre ces immenses tours, et non pas en souterrain, Dallas est vraiment une ville à part !
        À la décharge des services de transport je dois d'ailleurs avouer que le train est très pratique, passe relativement souvent et permet de se balader tous les jours et jusqu'à des heures assez tardives, il ne suffit alors plus que de trouver la bonne ligne de bus pour pouvoir rentrer par la suite, mais passé l'adaptation ce système de transport, en étant gratuit pour moi, est tout à fait correct.

        Mais pour revenir au sujet, l'arrivée dans le centre de Dallas se fait de manière soudaine et assez impressionnante, puisque le train passe par une station souterraine hors de la ville, pour ressortir au milieu de parkings et quelques terrains enherbés, le tout étant donc au ras du sol, et vous prenez alors un virage et se dresse devant vous toutes ces tours immenses, le choc est assez impressionnant avec une telle différence en seulement quelques mètres, et vous voilà plongé dans l'ombre de ces titans d'aciers.
        Vous sortez alors du train à la station se trouvant dans une rue piétonne, et vous êtes alors entouré, cerné par ces géants et vous pouvez commencer à vous balader le nez en l'air, manière la plus simple de reconnaître un touriste dans une grande ville !

        La station se situe près de St Paul Street, qui a été ainsi nommé en 1930 non pas pour des raisons religieuses mais en protestation face à une loi sur l'alcool, en faisant référence à un passage de la bible selon St Paul, "On me dit que tu ne bois que de l'eau, prend donc un peu de vin à cause de ton estomac et de tes fréquentes faiblesses".

Note : article du 09/09 édité le 10/10 :-p

jeudi 9 octobre 2008

Old Town


        Voici un autre bâtiment de la partie plus ancienne de la ville, le tout étant ramené à l'échelle américaine quand on parle d'ancienneté bien entendu. C’est une partie de la ville que j’apprécie beaucoup pour son caractère, ce quartier semble posséder une histoire à l'image de Elm street, mais bien au delà de ça c’est une atmosphère différente, avec des rues possédant un certain charme, évoquant l'image d'une Amérique plus ancienne du temps des affranchis, une autre idée du rêve américain. De plus ce superbe bâtiment sur la photo se trouve être un musée proposant en ce moment une exposition sur le nazisme et les camps de concentrations, une image intéressante montrant que ce pays malgré sa jeunesse à déjà un contexte historique assez important, et qui donne un certain caractère à ce lieu unique.

mercredi 8 octobre 2008

Elm Street


         Retour à Dallas avec un lieu chargé d'histoire s'il en est, ce bâtiment ne vous évoque-t-il d'ailleurs pas quelque chose ?

          Dallas est connu dans le monde entier et pas seulement pour la série éponyme, mais surtout pour avoir été le lieu d'un des assassinats les plus retentissants de l'histoire, j'ai nommé celui du président John Fitzgerald Kennedy qui c'est passe dans cette rue un certain 22 novembre 1963.

          J'ai découvert ce lieu particulier par un total hasard lorsque je me baladais dans dallas, me demandant ce que pouvait faire tout ces gens à côté de cette route qui semblerait banale à première vue. Puis je me suis rapproché d'une pancarte assez sommaire en carton posée là et montrant quelques extraits de journaux au titres assez évocateurs décrivant l’assassinat du président ainsi que les différentes théories soulevées, dont celles du complot. Je vous réserve la lecture de ces différentes théories pour les loooongues soirées d’hiver sur wikipedia ;-)

          Alors que j'essayais de comprendre un peu mieux l'histoire du lieu, me situer par rapport aux événements, un homme m'a accosté en me demandant d'où je venais, ayant le reflex autour du cou je ressemblait effectivement à un touriste, et il était absolument en extase de pouvoir parler à un français. Il a alors commencé à m'expliquer comment la voiture était arrivée dans la rue, la position des différents tireurs, comment ils l'avaient touché en montrant les signes sur la route repérant la position de la voiture sous chaque coup de feu. Le tout était réalisé en parlant à toute vitesse et tout en me montrant une brochure sur le sujet qu'il cherchait à me vendre, j'avais alors du mal à le suivre et à comprendre ce qu'il me racontait, ce tourbillon de paroles et d'images commençant à me donner le tournis. Il en profita alors pour m'achever en me montrant dans cette brochure quelques superbes photos en gros plans de l'autopsie pratiquée pour le dernier tir se situant à la tête et qui ne manqueront pas de ravir papa lors de son passage à Dallas, mais que je vous épargne de voir sur ce blog.

         Pour conclure, la photo a été prise à l’emplacement du tir provenant du cinquième étage du bâtiment de gauche, sur Elm street, et illustre une assez surprenante découverte pour un événement tristement connu et faisant aussi partie de l’histoire de Dallas.

mardi 7 octobre 2008

Double 5

Lorsque vous jouez au dé, sortir un double 5 c'est pas mal, mais peut-on le voir comme un signe de chance ? 
Après nous avoir promis d'amener des dés pendant un bon mois, le professeur de traitement du signal nous a proposé de jouer a un petit jeu, . La règle est simple, il donne la paire de dés à quelqu'un, il les lance et si il obtient un 5, c'est interro. Aujourd'hui nous avons pu lancer les dés pour la deuxième fois à peine, la chance d'obtenir un 5 est de un tiers, ce qui nous laissait de l'espoir, mais la chance d'obtenir deux 5 est de 1/36, et c'est ce qui est sorti du lancer du jour ! Avec un petit sourire, Mr Panahi nous a dit que un 5 faisait un problème, donc deux 5 c’était deux problèmes ! 
On pourrait conclure qu'un double 5 n'est pas forcément un signe de chance, bien au contraire, et l'on se retrouve alors tremblant devant sa feuille encore blanche, les deux problèmes au tableau, et l'on essaye de se rappeler de ses formules, de se mettre au boulot, pas évident après un coup pareil, un double 5 merde ! 
Mais au final on rend sa feuille, on se jette hystériquement dans son cours en cherchant les erreurs commises, et lorsque l'on cherche bien on en trouve toujours. Et la le prof attaque la correction, on attend de voir le bon résultat sortir d'une manière toujours aussi simple quand c'est lui qui le fait, mais la surprise, les exercices ont été bien fait il n'y a pas d'erreurs, les dizaines de feuilles jetées en boule ont payées...

lundi 6 octobre 2008

Take a drive

[photo à venir]

         Maintenant que vous imaginez un peu la route qui s'étend devant vous, je vais rajouter les gens tout autour de vous, histoire de vous plonger un peu plus profondément dans la vie américaine.

        Pour commencer le permis s’obtient de manière très simple et vous êtes libre peu après 16 ans de rouler par vous même. Il faut dire que la conduite est assez simple, avec une voiture automatique il suffit d’appuyer sur l’accélérateur et ça avance, et pour ce qui est des virages vu les routes je dirai qu’ils ont passé la formation en option. le résultat est assez amusant lorsque j’attend le bus le soir et que je vois les gens tenter de faire demi tour sur la 2x2 voies devant chez moi, et ça explique bien aussi la couleur des trottoirs au virage ;-)

        Le fait est que c’est beaucoup moins amusant lorsque vous êtes dans ce virage, ou que vous tentez de traverser ces grandes routes, les magnifiques feux suspendus ne sont pas forcément respectés, particulièrement lorsqu’il s’agit de tourner. Vous vous retrouvez alors face à cette grosse voiture qui vous fonce dessus et le chauffeur qui ne semble pas vraiment décidé à freiner pour vous laisser passer, et vous avez plutôt tendance à courir.

        Donc la prochaine fois que vous allumerez GTA, essayez de vous posez deux minutes et observer ce qu'il se passe autour de vous dans la rue, voir ces grandes routes de partout et comment les gens roulent, et dites vous bien que au final ce n'est pas juste un jeu vidéo, c'est une image assez proche de la réalité, en tout cas aux États-Unis, les routes sont bien aussi grandes, les voitures aussi grosses et banales, et surtout ça n'est pas une faute de l'IA, les gens roulent bien aussi mal !

dimanche 5 octobre 2008

Crossing

        Parlons un peu des voitures, une des valeurs sures américaines. Je vous ai déjà présenté les grosses voitures américaines, mais il y a aussi une majorité de voitures banales, se ressemblant toutes et qui donne l'idée de voiture américaine, et pas une seule voiture française là dedans, très peu d'Européennes en général, ce qui donne au final un paysage très différent de la France. Les petites voitures n'existent pas ici, c'est du lourd qui roule, la plus petite voiture aperçu ici était une Golf, et elle était assez ridicule comparée aux Ford et Chevrolet sillonnant les routes, ma pauvre Twingo se sentirait perdue ici ! Je tiens aussi à signaler pour ceux qui se feraient de fausses idées sur les énormes engins ici, c'est bien des gros moteurs, voir très gros avec plus de 4L de cylindrée sur les gros 4x4, et ici à la pompe il n'y a que de l'essence !

        Sinon les routes américaines sont bien tracées à la règle, toutes aussi larges et longues que ce que l'on peut imaginer, et encore plus à pied... Pour les croisements le principe est plutôt intéressant, Le feu se situe après le croisement, en hauteur comme on peut le voir sur la photo, parfois suspendu sur des câbles ce qui donne un joli spectacle les jours de vent, mais il reste facilement visible de tous. Pour l'anecdote un petit mot sur le principe anglais, qui allie le système français et le système américain, en proposant des feux avant ET après le croisement, le résultat est très... anglais :-P

samedi 4 octobre 2008

Stanza

        Un bon livre pour se poser à côté de la piscine, c'est pas mal non ? J'en un ai d'ailleurs que je dévore tous les soirs et qui m'empêche un peu plus de dormir ! Mais aujourd'hui je veux parler d'une découverte que j'ai faite et qui ne me laisse pas indifférent, j'ai nommé les livres électroniques. Mais vous pouvez vous demander pourquoi parler de livre électronique, et qu'es-ce que c'est au juste ?

        Pour faire simple c'est comme vous pouvez le voir un livre dont toutes les pages ont été scannées, et que vous pouvez lire sur tout ordinateur, et maintenant sur votre iPod ou iPhone avec une application gratuite nommé Stanza que j'ai eu la curiosité de télécharger ce soir après en avoir entendu parler de nombreuses fois, et qui m'a directement proposé l'accès gratuit à un immense catalogue de livres que je peux télécharger librement en quelques secondes et ensuite lire selon mes envies.

        Au delà du principe de lire sur un écran qui pourrait gêner certains, je passe ma vie devant un écran donc cela ne me gênerai pas, j'utilise même mon ipod pour lire le new york times ou rédiger certains articles de ce blog. Au delà donc de ce principe viens l'idée de la dématérialisation du livre, avec la fin de la sensation de toucher que l'on pouvait avoir en feuilletant son livre, quelque chose que j'ai du mal à imaginer, cette sensation m'ayant accompagné dans toutes mes lectures, le froissement des pages que l'on tourne, le poids du livre le soir quand il se fait tard, c'est comme perdre un sens à mon goût. C'est aussi la dématérialisation de cette forme de culture qui se voit maintenant distribué sans contrôle sur internet, et encore c'est une belle illusion quand on voit l'omniprésence de géants comme Google sur tout ce qui passe par le net, ce blog est d'ailleurs directement logé chez Google. De plus tout ce qui passe par les États-Unis, c'est à dire encore les trois quart d'internet, est analysé par le FBI sans contrôle de la part du gouvernement, en vertu du USA Patriot Act voté en 2001 suite aux attentats, et cela me fait froid dans le dos. Alors de savoir que mes lectures pourraient elles aussi tomber sous ce contrôle, ça me laisse une drôle d'impression.

       Et vous, que vous évoque la première page de 1984 sur l'écran d'un iPod ?

vendredi 3 octobre 2008

Summer sun

        Voilà comme tous les vendredi je suis en weekend, donc je me la coule douce près de la piscine pendant 3 jours à lézarder au soleil...
        Malheureusement ça n'est pas forcément le cas, un weekend de 3 jours, c'est déjà l'occasion d'appeler un peu plus tout le monde en France, le décalage horaire faisant que je suis en train de bosser en semaine, parfois même en cours, je me cale différemment en weekend afin de pouvoir avoir plus le temps d'appeler tout ce petit monde qui semble se languir de mes nouvelles malgré le blog, quand les ordinateurs ne sont pas trop capricieux. Ensuite c'est aussi l'occasion de bosser un peu plus pour être plus tranquille en semaine, enfin ne pas me coucher au moment où vous levez en France parce que je suis (encore) à la bourre sur les exos et les rapports à rendre le lendemain. J'espère pouvoir encore me faire quelques sorties afin de ramener autre chose que des commentaires de cours sur le blog mais j'ai du mal à gérer mon temps comme ça en ce moment, et je passe la plupart de mes weekend chez moi, alors que contrairement à vous moi il fait toujours plus de 30°C en pleine journée, pour aller se poser à côté de la piscine ou bouger un peu c'est nickel ;-)

        Je vais tout de même vous faire voyager un peu plus en retraçant mes premières sorties, et être un peu plus personnel avec quelques petites choses dont j'ai envie de vous parler, alors comme on dit ici, "stay on tune".

jeudi 2 octobre 2008

Complex digital circuit

         Je vous laisse admirer ce superbe circuit constitué de portes logiques ainsi que de flip flop, et que vous utilisez tous les jours, puisque c'est un compteur comptant (je sais...) de 0 à 9 et qui se trouve derrière chaque nombre de votre montre ou horloge digitale ;-)

          Si vous arrivez à comprendre cela, alors vous pouvez vous envoyer des 113/100 comme moi, et c'est bien du décimal et pas du binaire ! Alors vive la bonification avec tout de même un 99 à la base, et encore je suis pas allé voir le prof comme certains qui s'envoient des 117 pour avoir rapporté des erreurs dans le cours :-P

mercredi 1 octobre 2008

Dans la peau de Nathan Dodge

         Vous connaissez le film dans la peau de John malkovich ? Ce film est énorme vraiment, je vois qu'il y a des amateurs de ce genre de films, je les adore ! Dans le film si vous allez dans le Mertin Flemmer Building à l'étage 7 et demi, ne le demandez pas ce que c'est cet étage mais c'est comme ça, si vous allez à cet étage et que vous allez jusqu'au bureau du fond, derrière la bibliothèque il y a un trou, il vous faut ramper un long moment jusqu'à tomber sur une pente et vous commencez à glisser jusqu'à atterir dans le corps de John malkovich. Ça n'est pas comme si vous le controliez, vous êtes passagers et vivez tout ce qu'il vît par ses yeux, et puis au bout de quinze minutes vous atterissez à côté du New Jersey Turnpike, je ne sais pas pourquoi, mais vous vous retrouvez là. Pour ce cours je vous propose la même chose, vous allez suivre la conception de ces cicuits complexes à travers mes yeux...

          Vous vous demandez bien ce que tout cela signifie ? C'est tout simplement l'introduction du cours de notre prof de digital systems visant à présenter quelques circuits que l'on peut bien qualifier de complexes. Une introduction assez surprenante comme pour la plupart de ses cours, je vous laisse réfléchir à une petite citation écrite sur son t-shirt pour le premier cours sur le binaire :

"Il n'y a que 10 genres de personnes dans la vie, ceux qui comprennent le binaire et ceux qui ne comprennent pas"